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Le MANOIR de TRUHELIN

Chambres d'hôtes
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Le Manoir de Truhelin, qui fait le bonheur d'une longue histoire familiale,
vous accueille dans un parc calme et arboré, à deux pas de la plage de Kerbilouët en plein
cœur du parc naturel régional du Golfe du Morbihan.
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ls chambres

NOS CHAMBRES

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LA SUITE RÉCAMIER

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LA CHAMBRE DU GÉOGRAPHE

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LA SUITE AMPHITRITE

RESTO 1

LES SERVICES

Restauration

Petit-déjeuner : boissons chaudes, jus de fruit, pains, viennoiseries, confitures maison, yaourt maison, céréales, jambon, fromage... (compris dans le prix de la chambre)

Déjeuner / Dîner : nous avons sélectionné pour vous les restaurants aux alentours sur des critères de choix, variétés et prix. N'hésitez pas à nous solliciter à ce sujet

.

Sur demande, nous pouvons vous proposer :

  • Un pique-nique à 14 €

  • Un diner maison (entrée, plat, dessert) au prix de 25€ , enfant 13 €

  • Un plateau de fruit de mer suivant arrivage

  • Une dégustation d'huitres du Golfe (plates et creuses)

  • Une carte de vins pour accompagner vos repas

Parking

Parking couvert, avec prise pour recharge de voiture électrique.

Tarif  pour recharge électrique: 12 € par nuit.

activités

LES ACTIVITÉS

La plage

 

Très facilement accessible par un chemin piétonnier et arboré

Randonnée

 

Le GR34 fait le tour du Golfe et passe à proximité du manoir.

Golf de Baden

 

Situé à 5 km du manoir

Alignement de Carnac

Site d'alignements mégalithiques exceptionnel

Location de bateaux

 

Voile ou moteur à la pointe d'Arradon

Sports nautiques

 

 Écoles de voile à proximité. Possibilité surf, kitesurf sur la presqu'île de Quiberon

galerie

GALERIE

chaumière

LA CHAUMIÈRE

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La chaumière est une petite maison proche du manoir que vous pouvez réserver par l'intermédiaire des gîtes de France du Morbihan.
www.gites-de-france-morbihan.com/location-vacances/Gite-Arradon-56G3105.html

historique

L'HISTOIRE DU MANOIR

Au XIVème siècle, il n’existait qu’une ferme de trois pièces, avec son étage accessible à l’arrière par un escalier arrondi. Il faut s’imaginer un grand étang dans l’actuelle partie basse du jardin, ainsi qu’un moulin à eau, sur sa digue, aujourd’hui disparus. Seuls subsistent de cette époque la maison du meunier et la fontaine que jouxtent un abreuvoir et un lavoir, présents sur le terrain voisin. En 1419, Saint Vincent Ferrier, le grand prédicateur dominicain, vint se reposer au manoir et laissa son nom à la fontaine.

Jusqu’à la Révolution, le manoir appartint à des nobliaux, dont un certain La Bourdonnais qui, parti accueillir les émigrés à Quiberon en 1795, fut fusillé sur ordre du Général Hoche. Vers 1798, confisqué par l’Etat et vendu comme « bien de la République », il fut acheté pour presque rien par Monsieur Jolivet, député de la Convention, puis procureur de la République. Le fils de ce même Jolivet, officier de Marine, joua un rôle actif dans l’abolition de l’esclavage en Martinique.

Sous l’impulsion de sa nouvelle propriétaire, Madame la veuve Bouruet-Aubertot, les vingt hectares de l’ensemble formé par Truhelin et Kerjaffré furent organisés en jardins paysagers et plantés d’espèces rares. Si de nombreux arbres ont été abattus par la tempête de 1969, on trouve encore de nombreux chênes, chênes verts, des mélèzes d’Europe et des mélèzes pourpres, des séquoias, althéas, maronniers, érables, hêtres ou magnolias. Elle fit aussi percer des allées, construire une chapelle, imagina la terrasse et doubla les dimensions du manoir. Pour ces travaux, elle fit appel à l’architecte qui réalisa l’ultime maison de la pointe d’Arradon ainsi que la basilique de Sainte Anne d’Auray, Monsieur Normand, l’arrière-grand-père du propriétaire actuel. Il travailla avec les mêmes artisans que ceux de la basilique pour la sculpture sur pierre, sur bois et l’aménagement intérieur. 

En 1919, la propriété fut divisée en deux : Kerjaffré, avec le « grand chalet suisse » (exposition universelle de Bruxelles 1897), la chapelle et les granges, fut vendu à Monsieur Fouques, ancien officier de cavalerie ; Truhelin, avec le manoir, les dépendances du haut, la maison du meunier et la ferme du bas, revint au fils de l’architecte qui l’avait agrandi, Monsieur Normand.

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